• 1970 - 1979

     

     

    Saint - Victor - L’Abbaye (76) - automne 1971 - à la tombée de la nuit

    Une Soucoupe Volante se dirige vers le Sol

     

    Mme Raillot : « nous revenions de Clères (76), un dimanche après-midi (Alain son fils qui avait 5 ans en 1971, intervient : plus tard que ça, il faisait nuit) plus tard, ah rien n’est moins sûr, enfin le jour commençait à tomber, mais il faisait nuit, je ne suis pas tellement d’accord, il était donc assez tard, et en arrivant près de chez nous, là, enfin sur la route de Clères St - Victor, au-dessus d’un bosquet d’arbres, on a vu quelque chose qui ressemblait à une soucoupe volante, bon ce n’est pas péjoratif, mais vraiment quelque chose qui ressemble à une soucoupe, dont les hublots, on avait l’impression qu’elle tournait sur elle-même, et des hublots s’échappaient des faisceaux lumineux, l’ensemble était vert je m’en souviens, car le vert est ma couleur préférée, alors cela m’a frappée, et mon mari l’a vu aussi, donc on s’est arrêté, nous étions en Simca 1000. Nous l'avons regardé, la notion de temps, je ne me souviens plus très bien, sûrement quelques secondes, hein, on ne l'a pas vu très longtemps, mais très bien vu, on avait l'impression qu'il stationnait sur lui-même et tout d'un coup, heu, il est parti d'une façon oblique et à nos yeux, enfin, il nous a échappé, apparemment, il descendait à l'horizon, et il s'est caché derrière les arbres, on avait l'impression qu'il s'était posé derrière les arbres, pas loin de nous ... (Alain intervient : il est descendu obliquement derrière le bosquet) ... et puis après, nous ne l'avons pas revu, nous avions l'intime conviction qu'il était parti.

    Alain : Alors on revenait de Clères, chez ma grand-mère, on était sur la départementale N° 3, à peu près à six kilomètres de Clères en allant vers Saint Victor, c'est une petite départementale, une route relativement sinueuse, et puis à un moment on arrive à un endroit où il y a de la plaine de chaque côté. A gauche de la plaine sur un bon kilomètre et à droite la plaine et un ou deux bosquets, cela s'étend sur deux ou trois kilomètres après le bosquet, et puis bon, l'heure je ne ma rappelle pas exactement, bon, il faisait nuit, sûrement vers 23 h 30 - o h 00 (selon son souvenir d'enfant), à peu près, et puis mes parents ont vu, heu, ma mère a dit : "Tiens il y a quelque chose de vert là-bas", alors mon père s'est arrêté, et à mille mètre à vol d'oiseau, il y avait un objet, d'une couleur verte très soutenue et très lumineux, qui était en suspension à une trentaine de mètre du sol. On s'est arrêté, et on a pu l'observer, pendant, pendant plusieurs dizaines de secondes, une minute, une minute trente, l'objet était immobile. I l y avait des, bon ça c'est certain, il y avait des hublots des sortes de faisceaux, des lumières vertes, ça semblait tourner sur lui-même. L'objet a bougé, s'est mis à osciller légèrement, s'est levé un peu et a replongé derrière un bosquet où derrière l'horizon, si on mal jugé la distance. Mais ce serait plutôt vers le bosquet et derrière, il y a une plaine et la ferme. Ce serait plutôt derrière la ferme puisqu'il y a un endroit bien plat, voilà après il a disparu.

    M. Raillot (d'après lui entre 18 h 30 / 19 h); a aperçu le phénomène sur sa droite, il s'est arrêté pour mieux l'observer. Il confirme le témoignage de ses proches, mais précise qu'il a vu moins longtemps le phénomène étant donné qu'il conduisait. Il situe le phénomène entre 800 et 1 km de distance et à une hauteur de 400 m environ. La couleur du phénomène : vert émeraude lumineux (Pantone 316u - 371u), 03 Témoins. Source : LDLN N° 289-290.

      

    Civières (27) - 10/03/1972 - vers 21 h 25

    Panne de Véhicule

     

    1972, 10 mars, Civières, hameau d'Aubigny Daniel Laurets (Loretz ?) lieutenant de sapeurs-pompiers, voit à 21 h 25 à travers le pare-brise, à droite dela route, quelque chose qui descend vers le sol et se pose très rapidement. Il freine. Il estime que l'objet se trouve à 200 m de lui. Au moment de l'atterrissage une espèce de boule rouge de faible dimension coiffant l'ovni, s'éteint. A l'avant deux ouvertures de forme elliptique diffusent une pâle lumière en oblique vers le sol qui est éclairé. A l'arrière une lueur rouge peu puissante éclaire le champ labouré. Trente secondes après l'atterrissage les feux s'éteignent et dans la nuit devenue noire, plus rien n'est visible. Il a toutes les peines du monde à faire fonctionner convenablement le moteur de la R6 neuve et qui tousse sur plusieurs centaines de mètres avant de tourner normalement. 01 Témoin. Sources : (M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 373, & Scibd).

     

     Les Chaliers - En - Macey (50) - 27(?)/10/1973 - entre 19 h 15 et 19 h 30

    Un Petit Ballon Volant

     

    Entre 19h15 et 19h30, un témoin qui désire garder l’anonymat, sortant de sa maison aperçoit à l’horizon (environ 800m) « une boule jaune pâle »,  puis à 150 - 200 m plus loin en arrière une deuxième et enfin une troisième. Le témoin n’entend aucun bruit et n’a aucune idée de ce que cela peut être. Les boules finissent par disparaître derrière un bois. Ce qui frappe le témoin : la couleur jaune pâle des boules en question : « un petit ballon » s'est-il déclaré. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

     

    Barneville - Carteret (50) -  02/12/1973 - vers 05 h 30 à 06 h 05

    Un Ovni pris au Filet

     

    Les deux témoins un père et son fils, le père Georges Jean et le fils Noël, avaient tendus des lignes depuis plusieurs jours. En allant les relever ce matin là ils observent une grosse lumière qui se révèle à la hauteur de la plage sur le sable. Pendant leur descente vers le rivage elle ne bouge pas. "Tout d'abord nous avons pensé qu'il s'agissait d'une voiture. Mais une voiture a deux feux et nous n'en percevions qu'un. Nous avons également pensé à des trafiquants et nous n'osions pas descendre sur la plage.". Le père se décide et chacun des deux témoins va vers ses lignes. Le fils voit la lumière en plein dans ses lignes, il la comparera à une fenêtre jaune. Il va vite chercher son père. Il lui a demandé de venir et lui explique que cette lumière était au cœur des filets. Ils vont alors vers elle en braquant leurs lampes devant eux. Cette dernière ne bouge toujours pas. Peu rassurés les deux témoins préfèrent partir pour revenir plus tard. Ils éteignent leurs lampe et remontent jusqu'à leurs mobylettes. Avant de partir Ils voient la lumière jaune se tourner vers eux puis vers les dunes en envoyant un rayon, enfin elle s'éteint. Puis apparait une petite boule bleu vert au-dessus du lieu ou se trouvait l'objet, cette dernière s'envole vers 6 heure 05. Depuis cette vision le père à toujours refusé de revenir sur cette plage. A noter après enquête de J. Vallée il semblerait que des " éléments extérieurs" ont essayé de détourner le cas. En effet, tout d'abord il y a eu vraisemblablement un contact radar à 6 h 10 (se déplaçant du Sud-Ouest au nord-est) au niveau de Carteret. Il y aurait eu aussi un deuxième écho en direction des "passes de l'ouest". Les renseignements furent difficiles à obtenir en raison d'instructions spéciales données aux radaristes. Il semble que non seulement la gendarmerie, mais aussi la sécurité du territoire a enquêté sur les lieux. Le 7 du même mois une tenue complète de plongée sous marine fut retrouvée abandonnée sur une plage non loin du lieu de l'observation. Détail étrange cette dernière possédait un appareil de détection de la radio-activitée. L'ensemble des textes trouvés dessus étant en langue anglaise. Cette nuit là il est à noter qu'un accident se produisit à bord d'un chalutier qui se trouvait sur la trajectoire de départ de l'objet. Son appareil de navigation fut soudainement perturbé du coup le navire se brisa contre des écueils et coula. Enfin un radio amateur constata un trou de propagation important sur les réceptions des émissions provenant d'Angleterre exactement à 6h10. La même nuit, il se produisit donc sur la côte un accident curieux. Le chalutier Archipel qui se trouvait près des brisants d'Urville juste à l'ouest de Cherbourg et sur la trajectoire de l'objet, perdit son chemin, à la suite, semble-t-il, d'une perturbation de son appareil Decca-Navigator, et d'une  déviation de compas le bateau heurta les rochers et sombra. 02 Témoins. L.D.L.N. 132 et 133 - JacquesVallée - Le Collège invisible.- Michel Figuet et Jean - Louis Ruchon - Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France - 1979   - Scribd. OVNI en France. 

      

    Saint - Didier - Sous - Ecouves (61) 26/08/1974 - 22 h

    Une Odeur Etrange

     

    Un étudiant M.J.P. Menehy et une amie, se dirigent en voiture vers le lieu-dit et carrefour de la Croix-Madame (altitude 408 m) situé dans la Forêt d'Ecouves remarque que les arbres sont baignés par une lueur jaune, provenant d’un disque rond, jaune et « énorme », fortement impressionnés, ils pensèrent, malgré tout, à la lune (qui était ce jour-là en son premier quartier plus deux jours), ils se garèrent à la Croix-Madame, et continuèrent à pied vers une clairière, et continuèrent leur promenade sur le chemin lorsque, soudain ils aperçurent à une quinzaine de mètres, une lueur apparaissant comme un soleil «  un hémisphère silencieux et immobile » diffusant une lumière diffuse, qui éclairait peu les alentours, et qui cachait deux troncs d’arbres, et paraissait se situer à 2 ou 3 m du sol. Après avoir échangé quelques mots chuchotés « tu vois ce que je vois » … les témoins fortement impressionnés quittèrent rapidement les lieux. M. Menehy connait fort bien les lieux : or jamais il n’avait entendu les chiens des alentours « hurler à la mort » comme ce fut le cas ce soir-là. Le lendemain, revenant sur les lieux, il découvre à proximité de l’endroit où se trouvait « l’hémisphère », un petit cratère ressemblant à un foyer forestier de 1.40 m, ne contenant aucune cendre, l’herbe était brûlée et seule une bûche superficiellement consumée subsistait. Alors que tous les autres foyers forestiers trouvés sur les lieux étaient détrempés par la pluie tombée pendant la nuit, celui-ci fumait encore. Ce foyer, contrairement aux autres, se situait à flanc d’un terrain incliné, et dans un endroit peu accessible, au milieu de fougères. Il flottait sur les lieux une odeur « étrange » ne ressemblant à rien de connu. La moitié d’un arbre donnant sur le foyer paraissait totalement mort avec ses feuilles mortes mais non brûlées. 02 Témoins. Source : LDLN N°149. Enquête : M. P. Lefebvre.

     

    Ségrie - Fontaine - 20/10/1974 - vers 23 h & pendant environ une 1/2 h

    Noël avant l'heure

     

    M. Pawlak se trouvait dans son jardin lorsque son attention fut soudain attirée par une lueur brillante dans le ciel. Il vit alors " comme une grosse boule brillante, peut-être dix fois plus lumineuse qu'une étoile " au-dessus de la maison du grainetier. M. Pawlak se précipita alors dans la maison afin d'appeler sa femme et sa belle-sœur. Mme Pawlak nous a déclaré que son mari paraissait impressionné, " il était blanc, bégayait terriblement, excité, comme quelqu'un qui vient de voir quelque chose d'extraordinaire ". Mme Pawlak et sa sœur suivirent donc M. Pawlak jusque dans le jardin. L'objet s'était lentement déplacé pendant ce temps et poursuivait sa trajectoire très lentement mais probablement prenait-il de l'altitude. L'objet était néanmoins sous le plafond des nuages déjà assez bas, car il paraissait à l'œil nu plus petit que quelques instants auparavant. "L'objet avait la forme d'un carré au plancher arrondi avec une sorte de cheminée au-dessus. Il émettait des bouffées de fumée, plutôt de vapeur, par  intermittence,  mais non régulièrement et ce pendant toute la durée de l'observation ". Ces bouffées de vapeur gris-blanc se produisaient en avant de l'objet, dans le sens de la marche, à la différence par exemple de la fumée d'une locomotive à vapeur qui, logiquement, va dans le sens opposé à la marche de la motrice.  L'objet lui-même était de couleur blanche, brillant.  L'observation a duré environ 1/2 heure environ. " Après quoi l'objet s'est éteint instantanément. Il a reparu quelques instants plus tard à la place même où il s'est éteint, puis s'est éteint définitivement. " Le même jour, environ 3/4 avant, Mme Seguin à environ 1 km 500 a vu le même phénomène, ayant reçu la visite des Gendarmes, elle confirma qu'une panne de courant paralysait le secteur depuis 20 h environ, qu'elle sortit vers 22 h 30 pour s'assurer qu'elle n'était la seule affectée par cette panne, et qu'elle vit " loin, comme une chose, vous savez... des illuminations de Noël, ... un rectangle lumineux avec des lumières rouges et vertes autour..." . Elle appela son mari qui jeta un bref coup d'œil et rentrant chez lui en riant : " oh, c'est encore un OVNI, c'est tout ! ". 05 Témoins. Source : LDLN N° 146, enquête de P. Lefebvre et F. Rostan.

      

    Juaye-Mondaye (14) - Fin 00/10/1974 - 07 h 30

    Une Orange Jaune dans le Ciel

     

    Un jour de la semaine, vers la fin du mois d’octobre. Il fait nuit, il est 07 h 30 et les étoiles sont encore vibles. M. l’Abbé (Père Godefroy Abbé-Moine de l’Abaye de Juaye-Mondaye) sort pour se rendre à l’office du matin à l’église, lorsqu’il aperçoit à l’Ouest et se dirigeant vers l’Est un objet lumineux jaune qui se déplaçait déjà dans le ciel et au-dessus de l’horizon, l’objet avait la taille approximative d’une orange. « C’était comme si une orange se déplaçait dans le ciel ! ». L’objet était muni d’une vitesse extrêmement rapide et il mit à peu près 10 secondes pour traverser le ciel (le témoin réussit à compter jusqu’à 15). Les contours de l’objet étaient relativement nets, et il n’était pas entouré d’un halo ni laissait de trainée. La trajectoire empruntée par l’ovni avait apparamment la forme de la voûte céleste, et il disparut derrière l’horizon Est. Lorsqu’il passa pratiquement à son zénith le témoin ne perçut aucun bruit, du reste l’objet semblait évoluer à une altitude relativement importante. La luminosité de l’objet était du même type que celui des étoiles, mais contrairement à celles-ci ne scintillait pas et était de couleur jaune. Sa forme était celle d’une sphère. 01 Témoin. Source : Enquête Génpi.

     

    Amfréville (14) - 30/10/1974 - 10 h 15

    Engin Volant avec Feux de Position

     

     Une Automobiliste, Mme Louisette C. Commerçante à Merville-Franceville-Plage, se rendait à Caen, lorsqu'en quittant Sallenelles, entre le Manoir du Canard Piquet et le Hameau de l’Écarde, elle aperçoit sur sa droite un Engin lumineux de 5 à 6 m de diamètre, en forme de dôme équipé de feux de position plus sombres, un à chaque extrémité de sa base rectiligne, qui filait dans l’atmosphère. 01 Témoin. Source : Génpi.

     

    Laulne (50) - 05/01/1975 - vers 19 h

    Trace en forme de Fer à Cheval & Triangle au sol

     

    5 janvier 1975, Laulne (50), à " La Dignerie ", Yvon Vildier, 12 ans, sort vers 19 heures dans la cour pour uriner en allumant la lumière extérieure. Il voit alors à 120 m de la maison dans un champ, un engin bizarre : il n'en voit que le dôme percé d'un hublot jaune brillant, le reste étant caché par une haie. Il est frappé de stupeur et quelques secondes après l'objet s'est élevé en tournoyant jusqu'à 100 m de haut à la verticale. Il semblait être composé de 3 ou 4 étages, et il y avait dans la partie supérieure 5 hublots de la grosseur d'un bol. Trois pieds de 50 cm de haut semblaient être reliés au centre de la base pour former une assise et sont rentrés dans l'engin lors du départ. Il estime la grandeur à 15 m sur 3 m, de forme ovale. Sans les pieds la hauteur pouvait être de 4 m. Il est parti sur la gauche à grande vitesse. Durée de l'observation: 30 secondes. L'enfant est rentré commotionné, ne pouvant dire un mot tellement il a eu peur. Traces en forme de " U " et trois trous en Triangle au sol avec analyses effectuées. 01 Témoin Direct & plusieurs Indirects : Source : LDLN N°1 46 p. 6 à 10.

     

     Nagel - Séez - Mesnil (27) - 12/02/1975 - 19 h 25 / 20 h

    Refus de Contact d'une Noosphère

     

    Observation, dans l’Eure, le 12 Février 1975, dont voici le récit : (Observation parue en octobre 1976 dans le n° 158 de Lumières Dans La Nuit - LDLN)

     « J’ai observé, pour la première fois, un OVNI le mercredi 12 février 1975, vers 19h25 en compagnie d’un jeune homme de ma commune qui avait eu la présence d’esprit de me prévenir, connaissant mon intérêt pour ce sujet.

     Sur le vaste terrain d’aviation, désaffecté, de Nagel-Séez-Mesnil, situé au sud-est de Conches en Ouche, dans l’Eure, une boule lumineuse évoluait depuis plus d'une demi-heure au-dessus des arbres et buissons du terrain.

     Le jeune homme et moi sommes approchés de l’engin, très discrètement, à environ 200 à 300 mètres. Il faisait nuit mais le temps était clair. La boule parcourait la piste en tous sens et très lentement, comme si elle observait ou sondait le terrain, à une hauteur variant de 10 à 20 mètres mais sans jamais se poser.

     Vers 19h30, après cinq minutes d’observation qui nous parurent interminables, et suite à l’essai de mise en marche de la mobylette du jeune homme, malgré une prudente opposition de ma part, la boule parut se diriger précipitamment vers nous, ou tout au moins, prit-elle une grosseur plus considérable et aussi plus inquiétante. Etant abonné depuis trois ans à la revue « Lumières dans la Nuit », j’avais retenu dans un des articles qu’un champ magnétique électrique provoqué par une dynamo pouvait interférer sur un ovni situé relativement près. Ce fut sans doute le cas. C’est à ce moment que j’ai pu apprécier l’aspect physique de la boule.

     Elle semblait avoir un diamètre d’environ 50 à 60 cm. Elle était d’une couleur orange, très lumineuse, sans pourtant éclairer le terrain.

    Nous effectuâmes un mouvement de repli, en laissant la mobylette sur place, car nous n’étions pas très rassurés. Puis le jeune homme me quitta pour aller chercher, à pied, des jumelles ou un appareil photo. Je pensais, également, que la peur commençait à faire son effet sur lui, n’étant absolument pas préparé à la réalité du phénomène.

     C’est alors que vers 19h40, une automobile, tous phares allumés, venant d’un chemin vicinal traversant le terrain, se dirigea dans la direction de la boule. Je me cachais derrière des buissons afin de n’être pas repéré de l’automobiliste et pouvoir regarder ce qui allait se passer. J’ai alors observé, avec une certaine stupéfaction, qu’au moment où le faisceau des phares de la voiture allait se trouver dans le champ de la boule, celle-ci se déplaça très rapidement, vers la gauche, d’une cinquantaine de mètres environ, sans doute pour ne pas être repérée.

     Je compris à cet instant, avec stupeur, que cet ovni était bel et bien doué d’une forme d’intelligence… Je commençais à être un peu inquiet à mon tour.

    La voiture ne marqua pas de ralentissement, ou de temps d’arrêt, et disparu à l’extrémité du terrain d’aviation. La boule, quand à elle, continua à évoluer quelques minutes, toujours sur la gauche puis disparu au loin, à son tour.

     Alors que je revenais sur mes pas, en direction de mon domicile, et après avoir parcouru environ 300 mètres, je me retournais et m’aperçus, à nouveau stupéfait, que la boule était revenue pratiquement…. à son point de départ….

     Je décidais de rentrer chez moi, rapidement, pour prendre mes jumelles et revenir sur les lieux avec ma voiture. A mon retour, vers 20h00 et après plus d‘une demi-heure, resté sur place à observer la nuit noire, la boule avait totalement et définitivement disparu. ». 02 Témoins. Sources : LDLN n°158. Grépi page 79 .

     [Extrait du Catalogue Ufo - Génpi des Rencontres Rapprochées Ufologiques en Normandie]

     

     Merville - Franceville - Plage (14) - 10/01/1976 - 22 / 23 h

    Volonté de Contact d'un Ovni

     

    L. P. X. ou le Lien Psychique avec le Phénomène Ovni

     

     http://ufo-genpi-news.eklablog.com/33-l-intelligence-alien-a131010362

     

    In Shaa Allah !

     Beaucoup d'ufologues comme les partisans de la Théorie des " Systèmes de Contrôle " pensent, encore, que " l'initiative " ne peut venir que des Ovnis eux-mêmes, et que nous ne pouvons prétendre à rien d'autre que d'être "comptables" de leurs agissements, en tant que simples observateurs ou spectateurs face à la formidable intelligence qui selon eux les contrôle !

    Cependant, ce Renoncement et ce "Fatalisme à l'Orientale" ne sont pas partagés pas tous, d'autant, que la Typologie des Rencontres Rapprochées avec ces Phénomènes révèle des comportements, bien distincts dans leurs agissements, comme le refus du contact ou à contrario la volonté affichée d'échanger avec les Témoins.

    Forts de ce Constat certains " Expérimentateurs Ufologues " ont cherché depuis toujours à communiquer avec cette " Supposée Intelligence Extraterrestre "... (Cf. Histoire de l'Ufologie Française . Thibaut Canuti. Éditions le Temps Présent 2011).

     

    L. P. X. (Le Phénomène X)

     Ces Initiatives ont connu une certaine notoriété dans les années 1970 avec des recherches menées par des passionnés (Pierre Viéroudy, Frédérique Sagnes, le Groupe G.A.B.R.I.E.L., etc.) qui ont expérimenté divers "protocoles" de communication afin d'établir le contact avec  cette " Intelligence ", supposée diriger le phénomène des Ovnis et qu'ils nommaient à cette époque :  " Le Phénomène X " ou " L. P. X. "

    Et ce qui surprend, encore aujourd'hui, ce ne sont pas les résultats de ces expériences - dans l'ensemble plutôt couronnées de succès - mais, c'est surtout la nature de ces résultats eux-mêmes !

    En effet les résultats obtenus ne variaient pas des modèles connus des apparitions ufologiques classiques.

    Une question s'imposa alors : Quelle véritable signification fallait-il donner à ces manifestations ?

    Cette remise en question a représenté pour  quelques-uns une opportunité, celle d'envisager que certaines apparitions du Type Ufologique ou Para - Ufologique ou MOC (Mystérieux Objets Célestes)  servaient en réalité de supports d'expressions, imagés, animés, et scénarisés par  cette " Intelligence ", pour communiquer.

     

    Le Langage des Signes

      La logique de l'échange et du partage est universelle, pour mieux s'entendre et bien se comprendre il est utile et préférable de parler le même langage, et lorsque ce langage commun fait défaut on commence par se Faire des Signes !

    Ce langage Universel des Signes ou des Symboles s'impose naturellement lorsque des étrangers se rencontrent pour la première fois, il serait donc logique de les retrouver lors des premiers contacts et des Rencontres Rapprochées entre des Visiteurs supposés Aliens et des Hôtes Terrestres.

    Pour le vérifier et l'illustrer, voici le compte-rendu d'une, de ces tentatives de Communication par Signes offerte par ces « explorateurs de Terra Incognita » et intrépides Ufologues des années 1970.

     

    Le Rendez-Vous !

    Merville-Franceville-Plage, Calvados, 10 janvier 1976, entre 22h00 et 23h00.

    Les Témoins : Mr. Masseron et un couple d'émigrés espagnols, Mr et Mme Zamora. 

    [Les Témoins de cette RR3 n'appartenaient pas aux groupes ufologiques des années 1970, et ont été mêlés et impliqués « par hasard », et à leur insu, à l'une de leurs expériences, se trouvant, tout simplement, au mauvais moment et au mauvais endroit, c'est à dire à la date et au lieu du " Rendez-Vous ", précis et prévus, pour la réponse expérimentale attendue par ces ufologues !]

    [Cf. « RR3 Rencontres du Troisième Type en France » de Julien Gonzalez. Collection : Énigma. Éditions Le temps Présent. 2014. Lumières dans la nuit, n° 175, pages 20-21 (enquête de M. Guillaume Chevallier) ; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, OVNI : le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, pages 599 et 601.]

    http://ufo-genpi-news.eklablog.com/33-l-intelligence-alien-a131010362

     

    10 janvier 1976, Merville - Franceville - Plage (14) Entre 22 et 23 heures M. Masseron dort seul dans sa caravane lorsqu'il est réveillé par des coups donnés contre la paroi et des sortes de grattements, puis le véhicule se trouve secoué. Croyant à de mauvais plaisantins Masseron regarde par la fenêtre et là, il voit à quelques dizaines de mètres, un objet lumineux ayant la forme d'un œuf, sur ou très près du sol. Cet objet d’abord stationnaire et animé de mouvement circulaire évoquant celui d’une toupie, se déplace ensuite sur une trajectoire en spirale en émettant une stridulation qui augmente au fur de son éloignement. Voulant en savoir plus Masseron sort. Il entend maintenant une sorte de message comparable à celui reçu par talkie-walkie avec le grésillement caractéristique. Il ne comprend pas le message mais entend une voix qui dit: "...L.P.X... L.P.X... L.P.X". Sur la gauche quelque chose remue et attire son attention. C'est la silhouette noire d'un homme de taille moyenne qui traverse le chemin en courant. Cet humanoïde avance en crabe : l'axe de son corps orienté sur la prolongation de sa jambe droite. Il passe entre la clôture et une caravane inoccupée. A côté de cette dernière dans une autre caravane se trouve la famille Zamora qui dort. Mme Zamora est réveillée par des voix :"qu'est-ce que je fais ? " "tu fais comme moi". Elle finit par ouvrir la fenêtre et entend un message identique à celui reçu par Masseron. Elle réveille son Mari qui entend aussi les émissions sonores mais n’a pas le temps de voir le Phénomène Lumineux aperçu par Mme Zamora qu’elle décrira comme un cercle vert et rouge tourbillonnant rapidement sur lui-même et qui s’envola en empruntant une trajectoire en Spirale. Traces curieuses de pas en forme de cylindre. 03 Témoins. Sources : Enquête Génpi réalisée sur place dans l’heure suivant les faits. M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." éd. Alain Lefeuvre 1979, p.600, 601. 

     

    Amfréville 27/02/1978 - vers 00 h 45 

    L'Intuition Ufologique

     

    Venant de Caen, Mme Maryline regagnait son Domicile de Merville - Franceville - Plage en voiture, à une heure habituelle pour elle, arrivée à la hauteur du hameau de Longueville elle aperçu sur la Plaine de Ranville un Sphère Lumineuse de Couleur Rouge, positionnée devant la haie délimitant un verger situé dans la Plaine de Ranville à l'orée de la commune d'Anfréville. Cette Sphère avait 05 m de diamètre et était animée d'un mouvement ascendant & descendant à 03 m du sol environ. Parvenue au niveau de la Carrière de l'Ecarde, sa petite chienne Yorkshire "Wouina", ce qui était inhabituel et inquiéta doublement Mme Maryline qui préféra continuer sa route sans s'arrêter, d'autant qu'elle eu, depuis son départ de Caen, le fort pressentiment qu'elle observerait, à nouveau, un Ovni sur son trajet de retour à son Domicile, comme cela lui est déjà arrivé par le passé.  01 Témoin Source : Enquête du Génpi

     

    Merville - Franceville - Plage 02/08/1979 - 17 h 20 

    Vol en Feuille Morte

     

     M. Thierry & Mme Françoise Nogent revenaient de la Plage de Houlgate, au Campine de la Baie, à la sortie Ouest de Merville-Franceville-Plage, situé à côté du Camping de Carolus, depuis la réception du camping, ils virent, en compagnie de sa Propriétaire,   en direction Sud au-dessus de l’ancienne décharge de Merville, située, sur le chemin des Banques, à 500 m, l'évolution d'un objet en forme de disque lenticulaire blanc brillant voler silencieusement comme les feuilles mortes, en virevoltant rapidement dans les airs et des nuages où il entrait par moment, avant de disparaître en montant dans le ciel en diagonale vers l’Est. La taille du disque a été estimé à 6 à 8 m de diamètre. 03 Témoins. Source : Enquête du Génpi.

     

    Bretteville-sur-Laize (14) - 12/08/1979 - 22 h 30 / 23 h

    Un Crash Non-Identifié

     

    Mme Baudet, de la Criquetière à Bretteville-sur-Laize, j’étais dans la salle à manger quand mon petit-fils affolé m’a appelé dans la cuisine : « Viens vite voir mamy ! ». Je vais à la fenêtre de ma cuisine et je vois une boule rouge dans le ciel qui s’en allait vers la droite en tourbillonnant et en « s’émiettant ». Elle allait vers Gouvix.

    Mr. Baudet : « Elle était grosse comme la pleine lune. En s’en allant, elle laissait derrière elle une grosse fumée noire. Mais j’avais ouvert ma fenêtre, je n’ai perçu aucun bruit ni senti la moindre odeur. Cela s’est passé très rapidement environ 05 secondes. Elle se déplaçait en donnant l’impression qu’elle descendait en zig-ziag mais on peut dire qu’elle allait en ligne droite. Un moment après, j’ai revu exactement le même phénomène dans les mêmes conditions. »

    Un autre jour, Mme Lecordier a vu cela de son lit et s’est levée pour appeler la police croyant que c’était un avion qui allait s’écraser. La Gendarmerie a enquêté.

    Mr. Domme, le Mardi ou le Mercredi suivant, a vu de nuit et depuis son lit, a vu des petites boules rouges qui s’éteignaient d’un seul coup en direction du C.E.S. Plusieurs Témoins. Source : Chantale Jeanne. - Enquêtrice pour le Génpi.

     

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