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     Les Épicentres  Ovnis & Sismiques !

     

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    La Mise à Jour de la Rubrique Image est Progressive - Saisie en Cours

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    194/ La Défense Nationale & la Sûreté du Territoire face aux Ovnis !

     

    Soumont-Saint-Quentin (14) - 01/11/1990 - vers 22h / 23h

    Mimétisme Ovni & Scan du Témoin

     

     Au cours d’une Veille de Surveillance, par temps de brouillard, sur le site Ovnigène, Légendaire et Mégalithique de la Brèche au Diable, à Soumont-Saint-Quentin, un guetteur du Génpi (R. C.  âgé de 34 ans), qui s'est posté en haut de la côte de Plaids (148 m), à  la sortie  sud de Ouilly-le-Tesson, observe, à 250 m de sa position, la présence d’un engin qui emprunte la route de la D261a, un peu en avant du carrefour-stop  de la D261b, mais qui se déplace, en réalité, à très petite vitesse en "flottant" et en "tanguant" au-dessus de la chaussée. 

    Cet engin est silencieux et il a la taille apparente d’un véhicule automobile ordinaire dont le Guetteur peut deviner à peu près la forme globale, mais muni uniquement de ses feux rouges de position arrière, « roulant » comme le ferait une voiture, mais en marche arrière, qui se dirige alors dans sa direction, vers la côte 148 m de la côte de Plaids. 

    Jusqu’au moment où deux voitures, légèrement distante l'une de l'autre, venant de Soumont-Saint-Quentin approchèrent de loin, à cet instant l’engin se range sur un champ qui borde la route et éteint ses feux rouges, pour laisser passer, successivement les deux voitures qui, elles, sont éclairées normalement avec leurs feux de croissement et de position, avant et arrière (le témoin a pu identifier la première voiture comme un modèle de la DS Citroën).

    Après le passage des voitures, l’engin rallumera ses feux rouges  pour poursuivre son exploration toujours parfaitement silencieuse, mais maintenant dans le sens opposé, vers Soumont-Saint-Quentin, et, in fine, se dirigera en s’élevant doucement et progressivement au-dessus du champ vers la D261a, mais selon une trajectoire sinueuse qui le fit survoler la rivière du Laizon.

    A cet instant le guetteur R. C., voyant l’engin s’éloigner de sa position, se précipite en courant après lui, et traverse le Laizon à un gué, qu’il connaissait, pour essayer de le rattraper dans son vol dirigé vers le site de la Brèche au Diable.

    Lorsque R. C. se retrouva, les pieds et les  jambes dans l’eau froide, au milieu du cours du Laizon, il eu la surprise de voir l’engin venir le survoler en stationnant au-dessus de la cime des arbres, et ressenti une forte tension avec l’impression d’être « scanné » par un genre de «  rayonnement » invisible, qui cessa brutalement avant que l’engin ne poursuive sa route dans les airs.

    Malgré sa poursuite effrénée à pied qu'il prolongea, R.C. ne revit plus cette « Voiture Volante ». (du moins cette nuit-là ! ).

    Le guetteur a assisté à plusieurs reprise au déplacement de cet engin "déguisé" en voiture, qui suivait ostensiblement le tracé des voies routières. Et le fait d'avoir été comme enfermé (pendant environ 02 minutes) dans une "bulle invisible", avec la forte impression d'y être "sondé ou scanné", l'a profondément marqué.

    01 Témoin-Guetteur

    Source : Génpi.

     

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    Merville - Franceville - Plage (14) -  23/06/1987 - 22 h 30 / 23 h

    La Mécanique Céleste

     

    Comme il a l’habitude de la faire le Témoin M. R. C. , 31 ans, employé de camping, se promène sur le chemin de la Baie de l’Orne en direction du Port Nautique, lorsque ayant dépassé le Camping de Carolus, il observe, pendant environ 5 mn, dans le ciel nocturne deux phénomènes lumineux évoluant silencieusement au-dessus de la Forêt de Franceville. Deux sphères ovoïdes lumineuses, de couleur blanc ivoire, de 3 mm sur 2 mm en grandeur apparente, tournant simultanément, mais chacune en sens inverse, sur une même trajectoire parfaitement circulaire, qui lui apparaissent parfaitement délimitées et visibles sur le fond des nuages gris, dont le plafond est assez bas et dans lequel elles évoluaient sensiblement. La trajectoire formait un Cercle de 1 cm ½ en grandeur apparente. Les deux ovoïdes se croisant régulièrement sur la même trajectoire semblaient se confondre en se superposant l’un sur l’autre. L’ensemble finit par disparaître en dérivant à la vue du Témoin masqué par les Broussailles et la végétation des Dunes surplombant à cet endroit le chemin de la Baie de l’Orne. Le Témoin a déjà observé le même phénomène en Mars & Juin 1986 dans le même secteur de la Baie de l’Orne. 01 Témoin. Enquête : Génpi.

     

     

    Longny- au - Perche (61) - 16/12/1987 - 06 h 45

    La Porte de Lumière

     

     

    Le matin du 16 décembre 1987, M. L., qui avait rendez-vous dans la ville voisine, s'était levé un peu plus tôt que d'habitude, mais c'est en fait un bruit inhabituel qui l'avait réveillé, vers 06 h 45 : un ronronnement régulier, qu'il compare à celui d'un générateur électrique tournant à régime constant. Entre 07 h et 07 h 05, il se leva et vint aussitôt à une fenêtre donnant sur le sud-est. Le spectacle lumineux qu'il découvrit alors, à 250 m de distance environ, l'étonna au plus haut point. "Les bras m'en tombèrent", dit-il. AZu-dessus d'un chemin goudronné, immobile à environ 01 m de la chaussée (en pente légère à cet endroit), un rectangle de lumière blanche, haut d'environ 4 à 5 m et long de 8 ou 9 (estimation de l'enquêteur à 4 m de hauteur et à 10 m de longueur), très lumineux dans sa partie inférieure, éclairait les environs, dans un rayon de près de 200 m. On distinguait tous les détails du paysage. La chose a été perçue comme "un rectangle", c'est-à-dire une figure plane, située dans un plan vertical, une sorte d'écran lumineux. Que fit M. L. ? Il observa ce spectacle, pendant trois minutes environ. Son étonnement était tel qu'il ne pensa pas à réveiller son épouse. Soudain, deux silhouettes apparurent, près du coin inférieur gauche de l'objet. Elles avaient une taille "normale" et se déplaçaient l'une derrière l'autre, vers la gauche et vers le bas, le mouvement des jambes suggérant que les deux personnages descendaient un escalier (qui ne fut pas lui-même observé). Ces deux silhouettes, d'apparence humaine, semblaient vêtus de combinaisons d'un vert kaki sombre, avec capuche enserrant le tête. M. L., qui a été mécanicien dans l'armée de l'Air (sur mirage IV), insiste sur le fait que ces combinaisons ressemblaient beaucoup à celles que portent, par mauvais temps, les mécaniciens de l'armée de l'Air. Dès qu'ils arrivèrent au niveau du sol, ces deux personnages continuèrent à marcher vers la gauche, c'est-à-dire en s'éloignant de l'objet, mais aussitôt le rectangle se mit en mouvement, en sens inverse, au-dessus du chemin goudronné. L'unique source de lumière s'éloignant d'eux, les deux personnages disparurent aussitôt à la vue du témoin, dansl'obscurité ambiante. M. L. affirme qu'ils ne sont pas remontés dans la chose, qui s'est mise en mouvement dès qu'ils eurent mis pied à terre. Le témoin vit le "rectangle" défiler vers sa droite, prenant lentement de l'altitude au(dessus du chemin goudronné et accélérant jusqu'à atteindre une vitesse de 150 ou 200 km/h au moment où il allait sortir du champ de vision offert par la fenêtre. M. L. se précipita vers un vasistas d'où l'on peut regarder vers le sud-ouest, pensant observer le départ de la chose. Il arriva trop tard : il n(y avait plus rien. Lors du départ, l'objet avait continué à émettre le même ronronnement qu'à l'arrêt. Tout d'abord, le fermier habitant tout près (à moins de 100 m) du site d'atterrissage, observant ce matin-là vers sept heures, la clarté qui filtrait à travers les interstices de ses volets, s'était étonné qu'il fît jour si tôt, à tel point qu'il crut tout d'abord que son réveil retardait. D'autres fermiers, habitant non loin de là, constatèrent qu'à partir de ce moment-là, leur radioréveil était détraqué. Enfin, une dame du voisinage assura à M. L. qu'elle avait observé quelques années plus tôt, à peu près au même endroit. Sur le site du quasi-atterrissage, le témoin ne remarqua aucune trace qu'aurait pu laisser le phénomène. 02 Témoins. Source : LDLN N° 295.

     

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